Category Archives: Cambodge

27Avr/22
mine antipersonnelle au Cambodge

Les mines anti personnelles au Cambodge

Il y a quelques temps, j’ai rencontré Mike, lors d’un voyage au Cambodge. Nous avions assistés émerveillés à un ballet khmer ; les jeunes filles, vêtues comme des Apsaras, donnèrent une représentation exceptionnelle, ces danses sont aussi compliquées que codifiées. Il ne reste qu’une seule danseuse du Ballet Royal, une vielle dame –seule survivante de sa génération- qui enseigne son art aux jeunes filles pour qu’il ne disparaisse pas à tout jamais. Elles ont des gestes d’une grâce sans pareille, avec ces mouvements qui serpentent d’une main à l’autre, ces postures si gracieuses et si extrême-orientales.

Toutes les anecdotes vécues au Cambodge sont dans le livre “Et si c’était mieux là-bas ?”

Mike est australien, ancien officier de la légion étrangère, tombé amoureux du pays en 1992 alors qu’il était envoyé comme casque bleu pour sécuriser les élections. Aujourd’hui, il vend des peintures sur soie dans une échoppe et aide les démineurs. Il est installé avec Sopheap, sa femme, et Rupert, son python que je verrai grandir au fil de mes passages. En moins d’un an, je parviendrai à peine à le porter tant il était devenu lourd.

Un jour, il me parla des élections. Il faut savoir que Mike est un type au physique impressionnant : larges épaules, cou de taureau, des bras aux muscles noueux, tatoués de l’épaule au poignet. Mais le plus impressionnant reste ses yeux bleus perçants qui distillent tant un calme froid qu’une indicible force. Sergent à l’époque, il alla voir le commandant khmer rouge, « comme ça, pour mettre les choses au point, tu comprends ? », posant les poings écartés sur la table, il le regarda dans les yeux en détachant chaque syllabe.

– Une chose doit être claire : si un seul de mes hommes est blessé, de quelque manière que ce soit, au cours de vos petites attaques de merde, on enlève nos casques bleus, on remet nos képis et on vous tue tous.
Le Khmer rouge, qui n’était pas exactement un enfant de chœur, resta impassible mais on remarqua au cours des nombreuses attaques qu’ils firent tout au long des élections, qu’aucune ne fut jamais dirigée contre les légionnaires qui se prélassaient tranquillement dans leurs hamacs.
Il a tout compris de sa mission de casque bleu, quelques mots doux judicieusement placés valent mieux qu’une balle.

Mike garde dans son échoppe, un échantillon de chaque mine que l’on trouve ici ; il les maudit et veut montrer aux gens de passage à quel point ces armes sont destructrices. Quand il en parle, ses yeux s’enflamment, il s’emporte souvent contre ces fabricants de mort.

Le Cambodge comme si vous y étiez ! Découvrez ce pays dans le livre “Et si c’était mieux là-bas ?”

mine antipersonnelle au Cambodge

mine antipersonnelle au Cambodge

– Si le diable avait voulu faire du commerce, dit-il, c’est ça qu’il aurait choisi. Ces saletés ont été posées lors des différentes guerres, regarde, ça ce sont des « 72a et b », une mine chinoise posée par les Khmers rouges, ça c’est une « PM N2 », une mine soviétique posée plus tard par les Vietnamiens…

mine antipersonnelle au Cambodge

mine antipersonnelle au Cambodge

On la trouve couramment en Afghanistan ; peu de métal donc difficile à détecter, une pression de vingt kilos suffit à les faire exploser. Il y a aussi les mines « POMZ-2 » à fragmentation ou encore les mines bondissantes. Ce sont les modèles les plus répandus. Et puis il y a toujours les « UXO »(1) ces bombes et obus qui n’ont jamais explosé mais causent toujours un grand nombre d’accidents mortels tous les ans.

Le Cambodge est avec l’Afghanistan le pays le plus miné au monde. A l’origine, on utilise les mines pour se garder de ses ennemis et lorsqu’on mine un terrain, on fait un plan précis de leurs emplacements pour pouvoir y circuler et les récupérer le cas échéant. Au Cambodge, ils ne faisaient pas de plans. Les mines étaient le plus souvent abandonnées sur place… De toute manière, avec les pluies de la mousson, elles se déplacent et un plan serait vite obsolète. Plusieurs millions de mines furent placées au Cambodge. Une mine coûte entre 3$ et 128$, quand le déminage – à cause de la main d’œuvre, la logistique et le matériel qu’il nécessite – coûte de 30$ à 1000$ par mine. Reste un autre problème difficile à chiffrer mais tragique sur le plan économique : la non exploitation agricole des zones minées ou supposées telles. C’est un terrible facteur d’appauvrissement pour les paysans.

Les souvenirs de voyages au Cambodge de Lionel Cieciura sont dans le livre “Et si c’était mieux là-bas ?”

Mike m’explique qu’il y a deux façons de neutraliser une mine : on la localise au détecteur et on la fait sauter avec un bâton de dynamite ; c’est lent mais les risques sont réduits. L’autre méthode, la française, consiste à la situer au détecteur puis à la déterrer en plaçant une épingle dans la goupille (même principe qu’une grenade). On les met en tas puis on les fait sauter ; plus rapide mais plus risqué.
– “Les paysans s’en servent pour protéger leurs récoltes des voleurs, pour pêcher même… c’est un vrai fléau. J’ai beau en avoir désamorcé des centaines, la poussée d’adrénaline est toujours la même : la peur me noue l’estomac. Mais chaque fois que j’en neutralise une (ses yeux brillent), tu ne peux t’imaginer ce que je ressens : je me dis que je viens de sauver une vie.”

Sopheap, sa femme est infirmière pour une ONG ; lors d’un repas, elle m’explique qu’une personne sur deux ne survit pas à l’explosion d’une mine ; soit la victime a moins de douze ans et sa petite taille ne résiste pas à la déflagration, soit elle n’a pas l’argent pour se rendre à l’hôpital, soit encore, ce dernier, faute de personnel ou de médicaments ne peut dispenser les soins nécessaires. Il arrive souvent qu’une victime meure sur place des suites de ses blessures car personne n’ose aller la chercher de peur de sauter aussi.

Une prothèse coûte au minimum quarante dollars auxquels s’ajoutent dix heures de rééducation avec un spécialiste ; le moignon étant très sensible, la partie sur laquelle il repose doit être remodelée plusieurs fois ; une vingtaine de fois au cours de la croissance. Un adulte, lui en change environ quatre fois.

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mines anti personnelles au Cambodge

07Juil/20
Cité Angkor

Angkor : Les cités des Nymphes célestes

Au Cambodge dans une petite ville du nom de Siem Reap se trouve les anciens vestiges d’une des capitales de l’Empire khmer : la cité d’”Angkor”. Un des paysages les plus extraordinaires et stupéfiants que j’ai eu l’occasion de voir.

Extrait du livre « Et si c’était mieux là-bas ? »

Vestiges cité Angkor« L’architecture est grandiose, la beauté des sculptures et des bas-reliefs rivalisent avec celles de nos plus belles cathédrales. Nous consacrons presque toute la journée à Angkor Vat, les bas-reliefs qui racontent guerres et conquêtes sont magnifiques ; les cours intérieures, l’escalade vertigineuse des marches abruptes et érodées des temples, les murs d’enceinte, tout est sculpté et raconte leur histoire.

Angkor Vat est construit suivant un plan rectangulaire d’à peu près un kilomètre et demi de côté ; Angkor Thom, qui l’entoure, est un carré deux fois plus grand. Le Bayon en est le centre exact avec ses seize tours carrées, chacune ornée de quatre visages de deux mètres de haut constitués de gros blocs de pierre. Les visages aux sourires énigmatiques fixent les quatre points cardinaux de leurs yeux d’aveugles. Certaines semblent sortir de la jungle, d’autres se détachent sur le ciel azur. Toutes ces tours dominent un labyrinthe de galeries obscures abritant des milliers de chauves-souris.

La moto permet de circuler facilement et rapidement entre les différents temples, le site s’étend sur plus de deux cents kilomètres carrés. Le lendemain matin, nous retournons au Bayon ; la lumière matinale fait ressortir les sculptures, le soleil levant anime les bas-reliefs.

Durant les deux années où je vivrai au Cambodge, j’y reviendrai plus d’une quinzaine de fois et le parcourrai du Nord au Sud et d’Est en Ouest. A chacun de mes passages l’émotion reste intacte ; je découvrirai sans cesse de nouveaux détails, de nouvelles beautés ; au gré de la lumière les bas-reliefs apparaissent sous un jour nouveau.

Continuez le voyage en lisant le livre “Et si c’était mieux là-bas ?”

Les Apsara, ces danseuses célestes, taillées dans la pierre semblent charnelles Moine cité Angkoravec leurs hanches pleines, leurs lèvres pulpeuses et leurs seins si ronds qu’ils appellent aux caresses. Une chose me surprenait : pourquoi ce peuple, si souriant avait sculpté ces magnifiques déesses avec un visage si grave ? Sur les deux mille cinq cents Apsaras recensées à Angkor, aucune ne sourit. Aucune sauf une, et je me souviens de mon émerveillement lorsque je l’ai découverte sous une pluie de mousson entouré de cette odeur puissante de terre et de végétation. L’eau l’avait rendue noire et luisante. Splendide.

Mais de tous les temples, c’est le Ta Phrom qui garde ma préférence ; englouti sous la jungle, des lianes sinueuses lèchent les murs, se coulent dans les fresques. Les immenses racines des fromagers à l’écorce argentée, ont déchaussé les blocs de pierre, faisant s’écrouler des murs. Partout, une végétation luxuriante étend ses bras, détruisant petit à petit ce qu’il a fallu des siècles pour construire. Dans ce temple où le silence n’est troublé que par le chant de quelques oiseaux tropicaux, j’aurai chaque fois le sentiment d’être un explorateur du début du siècle.

J’apprendrai que les archéologues de l’école française d’Extrême Orient n’ont jamais cherché à le restaurer : d’une part, la tâche aurait été titanesque car les racines des arbres pénètrent tout sur des centaines de mètres, étouffent les pierres sous leurs tentacules ; d’autre part ils ont voulu le garder comme un exemple de la domination de la jungle sur le temple : si on n’y prend garde, en moins de dix ans, la jungle engloutirait le site. »

D’autres anecdotes sur le Cambodge dans le livre “Et si c’était mieux là-bas ?”

Comme dans chaque temple, une nuée de gamins en guenilles courent à notre rencontre en riant pour nous vendre des boissons et des souvenirs. Ils sont beaux les enfants khmers.

Le Phrea Khan est un autre très beau temple, il baigne dans une étrange lumière glauque, presque irréelle, une lumière d’aquarium ; le silence de la forêt accentue encore cette impression étrange.

Nous voulons voir le Bantey Srei -l’un de plus beaux paraît-il. Le problème est qu’il se trouve à plus de dix-huit kilomètres et les pistes de sable qui y mènent sont peu sûres. Nous y allons le lendemain. 

[…]

statue cité AngkorSe trouver enfin devant ce site extraordinaire et si difficile d’accès me donne le sentiment d’être privilégié. En khmer, Bantey Srei signifie « la citadelle des femmes » il s’agit de trois sanctuaires magnifiquement sculptés. Ici, il faut payer une « taxe » d’entrée ; je présente la lettre et nos cartes aux militaires dépenaillés qui jouent aux dominos à l’entrée. Ils la regardent de longues minutes à l’envers, faisant semblant de lire avec attention, puis nous laissent entrer.

Le chef vient me trouver peu après pour une nouvelle tentative, il me demande d’abord des cigarettes, comme je n’en ai pas, il veut des dollars me dit qu’il est garant de ma sécurité et bla bla bla. Il conclut par un « donne-moi 20 $ » « écoute, si tu veux de l’argent tu en demandes au check point ». J’ai été ferme. Il y a quelques personnes mais ils sont plutôt à l’écart, Sandrine est près de la porte d’entrée à une vingtaine de mètres. Il regarde la crosse de son pistolet qui dépasse de son pantalon, puis me regarde, menaçant. « I don’t pay » dis-je décidé, j’avance et l’écarte de mon chemin. Il m’énerve ce con, qu’est-ce qu’il va faire ? Me tuer ?

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Ce temple en grès rose est une merveille et superbement conservé. D’innombrables niches abritent des statues d’une extraordinaire finesse, je n’avais encore jamais vu un tel souci du détail, c’est de la dentelle. Bantey Srei n’est pas aussi grand que les autres mais il est l’un des plus beaux. C’est ici que Malraux était venu faire ses « emplettes » à coup de burin.

Pendant les années qui suivirent, l’accès à ce temple fut de nombreuses fois fermé statue cité Angkorpuis rouvert. Cinq mois après notre passage il y eut de gros problèmes : les policiers de Siem Reap autorisaient les touristes à se rendre à Bantey Srei contre trente dollars par personne pour leur « protection », ils gagnaient ainsi pas mal d’argent.

Mais un jour, un minibus de touristes fut attaqué au lance-rocket, une Américaine perdu la vie, les autres furent gravement blessés. Il y eut de nombreux commentaires dans la presse : Sihanouk avait déclaré la route officiellement ouverte et ses opposants, pour le gêner, auraient fait sauter le minibus. On émit aussi l’idée que l’Américaine décédée était une experte en stratégie militaire en mission au Cambodge. On apprit le fin mot de l’affaire plus tard : il s’agissait juste d’une guerre entre policiers. Un policier gagne une vingtaine de dollars par mois, il est obligé de trouver des « trucs » comme la corruption, le vol ou le racket pour pouvoir vivre. Comme ceux de Bantey Srei ne gagnaient rien, ils firent sauter le minibus. Depuis, les flics de Siam Reap partagent et tout va bien, ils sont copains.

Le vol de statues et de bas-reliefs est rapidement devenu à la mode ; voler une pièce est grave mais pire encore est de casser ou scier des morceaux car c’est alors irrémédiablement perdu.

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Quand Malraux vint dérober des bas-reliefs, les temples étaient encore enfouis sous une jungle inextricable. Je ne lui cherche pas d’excuses, je replace les choses dans leur contexte. Il faut imaginer un temple dont on ne connaît même plus l’existence, perdu au milieu de centaines de kilomètres de jungle impénétrable ; cela paraît moins dramatique. Ce n’est plus pareil aujourd’hui. Les plus graves dommages sont causés par les paysans des environs qui pour le compte d’hommes d’affaires de Phnom Penh ou de Bangkok, cassent les bustes au burin, scient les têtes, pillent les temples pour quelques dollars. Cela ne peut se faire sans la complicité des gardes, des policiers et des douaniers.

Tout s’achète ici. C’est inacceptable mais l’hypocrisie du gouvernement me semble pire encore quand ils condamnent -à grand renfort de publicité- un paysan misérable qui cherche juste à survivre. Allez parler de conservation du patrimoine à quelqu’un dont la famille a à peine de quoi manger. Combien de fois ai-je vu des bas-reliefs, des têtes et bustes provenant d’Angkor, d’Inde, ou d’Indonésie chez des antiquaires en Europe ou aux Etats Unis ; et combien de fois me suis-je entendu dire « si ce n’est pas moi qui les vend, ce sera un autre ».

Nous finissons toujours la journée au sommet de la petite colline face au temple d’Angkor pour voir le soleil se coucher sur ses tours.

Nous irons aussi nous balader en pirogue sur le lac Tonle sap, au milieu des villages flottants de pêcheurs, des éleveurs de serpents et de crocodiles. Un soir où nous buvions un thé dans une de ces cabanes sur pilotis nous eûmes la chance d’assister à l’un des plus beaux spectacles dont la nature a le secret ; lorsque le soleil en se couchant, passe sous la barre de nuages, nous assistons -c’est très rare- à un « soir doré », c’est un phénomène qui n’existe que dans les régions de mousson, les couleurs deviennent rouges, violettes, jaunes, oranges ; l’air chargé de millions de gouttelettes se met à briller de l’intérieur, on se croirait dans un film féérique ; tous les Khmers sortent sur leur ponton pour assister au spectacle. »

Retrouvez tous mes voyages dans mon livre « Et si c’était mieux là-bas ? »

La totalité des ventes du livre est reversé à un projet humanitaire mon association Kayumanis.

09Avr/19

5 destinations de rêve en Asie

L‘Asie est un continent vaste qui regorge de destinations toutes aussi différentes qu’uniques. Vous pourrez y découvrir des paysages magnifiques et des lieux somptueux, que vous n’avez encore jamais vu (enfin pour l’instant..).

En effet, si vous souhaitez partir en voyage en Asie, vous avez le choix ! Entre les pays d’Asie centrale, d’Asie du Sud, … on se sent parfois un peu perdu, et faire un choix peut être moins facile que ce que vous pensez.
C’est pourquoi je vous ai sélectionné 5 pays d’Asie, aux paysages à couper le souffle: l’Indonésie, l’Inde, la Birmanie, le Cambodge et enfin le Népal.
Certains de ces pays sont moins connus que d’autres pour voyager ; vous allez être surpris de découvrir tout ce qui s’y cache… J’espère que vous allez apprécier cet article, et qu’il va vous aider dans votre recherche de destination parfaite pour votre voyage.

  1. Indonésie
  2. Inde
  3. Birmanie
  4. Cambodge
  5. Népal

Bonne lecture !

Indonésie : les îles de l’Asie du Sud-ouest

Destinations : Indonésie 

Avec plus de 13 000 îles, l’Indonésie est un territoire vaste qui propose des paysages divers : volcans, rizières, forêts, montagnes, … Il existe aussi de nombreux parcs nationaux comme celui de la Baie de Canderawasih.

 

Destinations : Indonésie

Inde : des paysages variés de l’Asie du Sud

Destinations : Birmanie

Cascades, fleuves, montagnes, plantations de thé, … L’Inde est un pays plein de ressources ! Le pays est aussi connu pour ses constructions incroyables et majestueuses.

Destinations : Birmanie

Birmanie : les pagodes de l’Asie du Sud-est

Destinations : Birmanie

La Birmanie est le pays le plus vaste d’Asie du Sud-est. Vous y trouverez la splendide pagode de Shwedagon ainsi que d’incroyables paysages et des sites naturels ou bouddhistes.

Destinations : Birmanie

Cambodge : le pays du sourire de l’Asie du Sud-est

Destinations : Cambodge

Phnom-Penh, la capitale du Cambodge, regorge de chauffeurs de tuk-tuk ! Vous pourrez aussi voir d’anciens temples et des paysages à couper le souffle, des parcs, des plages, et de la bonne nourriture.

Destinations : Cambodge

Népal : des paysages himalayens de l’Asie du Sud

Serpent au Népal voyager en Asie

C’est la destination idéale pour les randonneurs ! Vous pourrez explorer les trésors de la chaîne himalayenne. On y voit aussi des lacs turquoises, et pleins de petits villages.

Destinations : Népal

Pour découvrir davantage de destinations en Asie, lisez mes anecdotes de voyages :